Cabinet Diététique, Nutrition
& Micronutrition
Nantes 

Bienvenue sur mon site !


Je m'appelle Laurianne Chignard, diététicienne-nutritionniste diplômée depuis 2005, spécialisée en micronutrition. Mon objectif est de vous aider à adopter un mode de vie sain et équilibré, adapté à vos besoins personnels.`


Pourquoi me choisir ?

  • Expertise et Formation Continue : Chaque année, j'enrichis mes connaissances pour vous offrir des conseils personnalisés et à la pointe des dernières recherches en nutrition.
  • Approche Globale : Au-delà des régimes, je vous accompagne dans un véritable changement de mode de vie pour un bien-être durable.

Mes Services :

Consultations en Cabinet à Nantes : Venez me rencontrer en personne pour un suivi personnalisé.

Consultations à Distance : Profitez de mes services où que vous soyez via Doctolib


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Explorez ce site pour en savoir plus sur mon approche et mes services. J'espère que vous y trouverez des ressources et des conseils qui vous inspireront. Pensez a consulter régulièrement partie Blog et/ ou vous inscrire à la newsletter pour rester informé de l'actualité diététique


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Pour plus d'informations ou pour prendre rendez-vous, n'hésitez pas à me contacter. Je serais ravie de vous aider à atteindre vos objectifs de santé et de bien-être.





Quel est mon métier?
Le diététicien reçoit des patients qui le consultent directement ou qui sont envoyés par des médecins. Il adapte l’alimentation aux besoins, aux pathologies éventuelles et au mode de vie de chacun puis il donne des conseils pratiques individualisés.

Quand venir consulter un diététicien ?
- Vous souhaitez équilibrer votre alimentation
- Vous désirez perdre du poids
- Vous souhaitez prendre du poids
- Vous êtes enceinte ou en période d’allaitement
- Vous avez des problèmes de transit
- Vous souffrez de dyslipidémie (cholestérol, triglycérides…)
- Vous avez un régime particulier (diabétique, sans sel…)
- Vous souffrez d’intolérance ou d’allergie alimentaire
- Vous suivez un entrainement sportif régulier amateur ou professionnel 
- Vous soufrez d'un lymphoedème ou d'un lipoedème
- Vous soufrez d'endométriose, d'un SOPK, de syndrome prè menstruel
- Votre corps change à l'arrivée de ma ménopause / andropause
- Vous entamez un sevrage tabagique 

Les « plus » du cabinet : 
- Un bilan nutritionnel complet et individualisé, qui vous permet de prendre votre alimentation en main de manière autonome dès le premier rendez vous
- La réalisation du bilan de masse corporelle avec du matériel clinique, proposé sans supplément pour chaque rendez vous en cabinet
- Un accompagnement 100% personnalisé avec votre diététicienne nutritionniste expérimentée 
- Des abonnements pour un suivi régulier et efficace au meilleur prix
- La possibilité de recevoir menus 100% personnalisé (sur abonnement)

Lieux de consultation

Je reçois essentiellement dans mon cabinet de Nantes. Je pratique également les consultations à distance. 
Les rendez vous à domiciles sont réalisables sur prescription médicale
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Methode(s)

Différentes personnes, différents objectifs, différents moyens. Ma  méthode est simple : je m'adapte à vous.


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Fiches pratiques

Different outils à votre disposition pour prendre votre alimentation en main

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Mes prestations

Bilan de Masse corporelle

Examen complet et precis de la composition de votre corps
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Rééquilibrage ou Régime alimentaire 

Apprendre à mieux manger pour atteindre votre objectif
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Coaching diététique

Rédaction de menus, échange de mails, rendez-vous réguliers, avec votre abonnement, vous mettez toutes les chances de votre coter
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Micronutitrion

Une consultation dédiée aux troubles liés en carences en micromineraux qui ne trouve pas de solution dans le rééquilibrage alimentaire, pour se sentir mieux dans sa tête et dans son corps
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Blog : les derniers articles

par Laurianne Chignard 23 avril 2025
Vous suspectez une insulino-résistance ou votre entourage vous en a parlé ? Vous vous demandez comment cela se diagnostique et qui peut vous prescrire les examens ? Cet article vous éclaire sur les différentes étapes du diagnostic, les professionnels de santé concernés et les démarches à suivre en cas de résultat positif. Qui peut prescrire les examens ? Le diagnostic de l’insulino-résistance repose sur un bilan biologique ciblé, prescrit par un professionnel de santé habilité. En pratique, plusieurs interlocuteurs peuvent être à l’origine de cette prescription : Le médecin généraliste , souvent le premier contact et le mieux placé pour initier le bilan ; L’endocrinologue, spécialiste du système hormonal, notamment en cas d’antécédents familiaux ou de signes métaboliques marqués ; Le gynécologue, en particulier chez les femmes présentant un syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) ou des troubles hormonaux associés ; La sage-femme, dans le cadre du suivi de grossesse ou en post-partum, peut aussi orienter vers ce type de bilan. En revanche, la diététicienne-nutritionniste, même diplômée, n’est pas autorisée à prescrire des analyses biologiques. Toutefois, si certains signes cliniques me paraissent évocateurs en consultation, je vous invite à en parler avec votre médecin traitant, afin qu’il puisse évaluer l’indication d’un bilan. Peut-on faire les tests sans ordonnance ? Oui, il est tout à fait possible de demander ces analyses en direct auprès d’un laboratoire d’analyses médicales. Cependant, dans ce cas, vous devrez en assumer le coût total, sans remboursement par l’Assurance Maladie. Prenons un exemple concret : Marie, 42 ans, présente une fatigue chronique, des fringales sucrées et a pris du poids autour du ventre. En attendant un rendez-vous médical, elle souhaite vérifier par elle-même. Elle se rend donc dans un laboratoire avec la demande suivante : glycémie à jeun, insulinémie à jeun, HOMA-IR (un indice calculé à partir des deux premiers résultats). Le coût total avoisine alors 30 à 40 euros, selon le laboratoire, entièrement à sa charge. Cette option peut être utile dans certains cas, mais je recommande de privilégier une démarche coordonnée avec un professionnel de santé, pour une meilleure interprétation des résultats. Comment interpréter les résultats ? L’analyse repose principalement sur trois valeurs : La glycémie à jeun : normale si ≤ 1,10 g/L. Une valeur entre 1,10 et 1,26 g/L évoque une anomalie de la régulation glycémique, sans atteindre le seuil du diabète. L’insulinémie à jeun : les seuils varient selon les laboratoires, mais une valeur > 10-15 µUI/mL peut déjà alerter. L’indice HOMA-IR (calculé automatiquement ou via la formule [insulinémie x glycémie] / 22,5) : un résultat > 2,5 est généralement considéré comme suspect d’insulino-résistance. Il ne s’agit pas d’un diagnostic posé à partir d’un chiffre unique, mais d’un ensemble d’éléments cliniques et biologiques qui doivent être analysés ensemble, par un professionnel. À qui s’adresser en cas de résultat évocateur ? Si votre bilan met en évidence une résistance à l’insuline, il est essentiel de consulter un médecin (généraliste ou endocrinologue) pour confirmer le diagnostic, identifier d’éventuelles complications associées et mettre en place une prise en charge globale. En parallèle, une prise en charge nutritionnelle est souvent recommandée. C’est dans ce cadre que j’interviens, pour vous aider à adapter votre alimentation, retrouver une meilleure sensibilité à l’insuline, et agir durablement sur votre santé métabolique. En résumé Le diagnostic de l’insulino-résistance repose sur une démarche coordonnée entre plusieurs professionnels. Même si l’analyse peut être réalisée sans ordonnance, une interprétation médicale reste indispensable. En cas de doute ou de questions, n’hésitez pas à me solliciter lors de notre prochain rendez-vous : nous pourrons faire le point ensemble et, si besoin, orienter la suite de la démarche.
par Laurianne Chignard 23 avril 2025
L’insulino-résistance est un trouble métabolique silencieux mais fréquent, souvent précurseur du diabète de type 2. Bien qu’elle puisse évoluer sans symptômes marqués pendant plusieurs années, elle mérite une attention particulière, car elle reflète un déséquilibre profond dans le fonctionnement du métabolisme. Aujourd’hui, je vous propose de mieux comprendre ce phénomène, ses causes, ses conséquences, et les moyens concrets d’agir, notamment par l’alimentation. Qu’est-ce que l’insulino-résistance ? L’insuline est une hormone produite par le pancréas, qui permet au glucose (sucre) présent dans le sang de pénétrer dans les cellules, notamment musculaires et hépatiques, afin d’y être utilisé comme source d’énergie. Lorsque ce mécanisme fonctionne bien, la glycémie reste stable, même après un repas riche en glucides. En cas d’insulino-résistance, les cellules deviennent progressivement moins sensibles à l’action de l’insuline. Le pancréas est alors contraint d’en produire davantage pour obtenir le même effet. Cette hyperinsulinémie chronique peut se maintenir un certain temps, mais finit par épuiser l’organisme et favoriser une élévation durable de la glycémie. Quelles en sont les causes principales ? Plusieurs facteurs contribuent au développement de cette résistance : Une alimentation déséquilibrée, riche en sucres rapides et en graisses saturées ; Un excès de poids, en particulier une accumulation de graisse abdominale ; Une sédentarité importante ; Un stress chronique, mal géré ; Des troubles du sommeil ou un manque de sommeil ; Des prédispositions génétiques, parfois renforcées par le contexte hormonal (syndrome des ovaires polykystiques, ménopause…). Il est important de souligner que ces causes sont souvent interconnectées et qu’un mode de vie globalement déséquilibré favorise l’installation de cette résistance. Quels sont les signes qui doivent alerter ? L’insulino-résistance peut rester silencieuse pendant longtemps. Néanmoins, certains signaux peuvent apparaître : Une fatigue persistante, en particulier après les repas ; Des fringales sucrées fréquentes, voire une sensation de “besoin urgent de manger” ; Une prise de poids localisée au niveau abdominal ; Une sensation de somnolence après les repas ; Des bilans sanguins montrant une glycémie ou une insulinémie élevées, ou un taux de triglycérides en hausse. Ces signes ne permettent pas à eux seuls de poser un diagnostic, mais ils justifient une évaluation plus approfondie par un professionnel de santé. Comment agir sur l’insulino-résistance ? La bonne nouvelle, c’est qu’il est tout à fait possible d’agir, notamment par des changements progressifs mais durables de ses habitudes de vie. En consultation, j’accompagne souvent les patients vers une alimentation à index glycémique bas à modéré, riche en fibres, en légumes, en protéines de qualité, et pauvre en sucres rapides. Je veille aussi à intégrer leurs goûts et leurs contraintes du quotidien, pour que ces changements soient réalistes et pérennes. L’activité physique joue un rôle essentiel, en particulier les exercices d’endurance (comme la marche rapide, le vélo, la natation) et le renforcement musculaire, qui améliorent la sensibilité des cellules à l’insuline. Une attention particulière est aussi portée à la qualité du sommeil, à la gestion du stress et, si nécessaire, à un accompagnement spécifique en micronutrition ou phytothérapie, notamment pour soutenir la régulation hormonale et la glycémie. En conclusion L’insulino-résistance n’est pas une fatalité. Bien identifiée, elle peut être un véritable levier de prévention du diabète de type 2, des maladies cardiovasculaires et de nombreuses pathologies chroniques. C’est aussi une belle occasion de reprendre soin de soi, de manière globale et durable. Si vous avez un doute, si vous vous reconnaissez dans certains des signes évoqués, n’hésitez pas à en parler lors de notre prochaine consultation. Ensemble, nous pourrons évaluer votre situation et mettre en place des stratégies adaptées, dans un cadre bienveillant et sans jugement.
par Laurianne Chignard 23 avril 2025
Hier, j’ai eu la chance de participer à un master mind entre consoeurs diététiciennes. Ce genre d’échange, toujours riche et stimulant, me permet de prendre du recul sur ma pratique, d’ajuster certains outils, et parfois même d’adopter un nouveau regard. L’une d’elles a partagé une phrase qui m’a profondément marquée : « Quand je définis un changement alimentaire avec un patient, je lui demande toujours s’il pense pouvoir tenir ce changement pendant cinq ans. » Cette question m’a arrêtée. Elle m’a parlé. Elle résonne tellement avec ce que je cherche à transmettre en consultation. Parce que oui, les changements alimentaires que nous mettons en place ensemble ne sont pas là pour durer une semaine, ni même un mois. L’idée n’est pas de tenir « jusqu’à l’été », ni « jusqu’à ce que je rentre dans ce pantalon ». L’objectif, c’est de créer une nouvelle manière de vivre, de manger, de prendre soin de soi… qui soit à la fois réaliste, apaisée et durable. Penser un changement sur cinq ans, c’est changer de perspective. Cela oblige à sortir des logiques de contrôle, de restriction, de performance. Cela pousse à chercher l’équilibre, à écouter ce qui est soutenable au quotidien, à envisager l’alimentation comme un pilier du bien-être et non comme une simple variable à modifier. En consultation, je vous accompagne pas à pas, mais je sais que le vrai travail, celui qui compte, celui qui vous transformera, se construit dans vos journées, vos choix, vos ajustements. Ce que nous décidons ensemble doit pouvoir s’inscrire dans votre vie réelle, avec ses contraintes, ses envies, ses imprévus. Alors la prochaine fois que vous vous dites « je vais essayer ça », posez-vous cette question : est-ce que je me vois encore faire ce choix dans cinq ans ? Si la réponse est non, il est peut-être temps de réévaluer, de simplifier, ou d’adapter. Si la réponse est oui, vous tenez là quelque chose de précieux : un changement qui a le potentiel de devenir un véritable mode de vie. Et c’est exactement cela que je vous souhaite : des changements qui font du bien, longtemps. Mais comment on change, concrètement ? Vous vous êtes peut-être déjà dit « je dois manger plus de légumes ». Et objectivement, vous avez raison. Ce n’est pas une information nouvelle. Mais ce n’est pas suffisant. Ce qui compte, ce n’est pas ce que vous savez, c’est ce que vous faites. Alors je vous propose de réfléchir autrement. Comment, moi, je peux y arriver ? Qu’est-ce qui me freine vraiment ? Est-ce le manque de temps pour les préparer ? Le fait de ne pas savoir comment les cuisiner ? Une mauvaise expérience passée ? Une routine déjà bien installée et difficile à bousculer ? Comprendre ses propres freins, c’est la première étape. Ensuite, il faut ajuster le cap avec des objectifs simples, personnels, réalistes et réalisables. Cela peut être de prévoir une soupe pour deux soirs dans la semaine, ou d’ajouter une crudité au déjeuner trois fois sur cinq. Peu importe le point de départ : l’important, c’est que ce soit possible pour vous, dans votre quotidien, sans pression ni culpabilité. Le changement durable ne repose pas sur la perfection, mais sur la constance et l’adaptation. C’est pourquoi je vous encourage toujours à définir vos propres objectifs, à votre rythme, avec bienveillance. Car un bon objectif est celui que vous serez capable de tenir, jour après jour, mois après mois… et pourquoi pas pendant cinq ans.
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