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Les Glaces et la santé

Laurianne Chignard • 27 juillet 2024

Les Glaces et Sorbets : Leur Place dans une Alimentation Équilibrée

Les glaces et sorbets sont souvent associés aux plaisirs estivaux et aux moments de détente. Mais quelle place occupent-ils dans une alimentation équilibrée pour les adultes et les enfants ? Dans cet article, nous explorerons les aspects nutritionnels des glaces et sorbets, leurs avantages et inconvénients, et comment les intégrer sainement dans notre régime alimentaire.

Composition Nutritionnelle des Glaces et Sorbets

Les Glaces, qu'elles soient à base de crème ou de lait, contiennent généralement :
- Glucides : principalement sous forme de sucres ajoutés.
- Lipides : provenant des matières grasses laitières.
- Protéines en moindre quantité, apportées par les produits laitiers.
- Vitamines et Minéraux: calcium, vitamines A et D.

Les sorbets, quant à eux, sont principalement composés de :
- Glucides : principalement des sucres, contenus dans les fruits, et ajoutés dans la recette
- Eau : element principal
- Vitamines et Minéraux : en quantité variable, selon les fruits et recette utilisés.

Avantages et Inconvénients

On les aime car : 
- Les glaces et sorbets apportent du plaisir gustatif, important pour le bien-être émotionnel.
-  Les sorbets, en particulier, peuvent contribuer à l'hydratation en période de chaleur.
- Les glaces à base de produits laitiers peuvent fournir des protéines et du calcium.

On les limite car :
- La plupart des glaces et sorbets contiennent des quantités élevées de sucres ajoutés, ce qui peut contribuer à une prise de poids excessive et à des problèmes dentaires.
- Elles sont riches en calories , en raison de leur teneur en sucre et/ou graisses.
- Certains produits industriels peuvent contenir des additifs et des colorants artificiels.

Comment Intégrer les Glaces et Sorbets dans une Alimentation Équilibrée

Chez les Enfants : 
- Limiter la consommation à une petite portion occasionnelle pour éviter un apport excessif en sucre.
- Privilégier les glaces et sorbets sans colorants ni conservateurs artificiels, et à base d'ingrédients naturels.
- Proposer les glaces comme dessert après un repas équilibré plutôt qu'en collation pour éviter les pics de sucre.

Chez les Adultes

- Intégrer les glaces et sorbets dans le cadre d'une alimentation variée et équilibrée, en tenant compte de l'apport calorique total.
-  Préparer des glaces maison avec des fruits frais, du yaourt nature et des édulcorants naturels comme le miel ou le sirop d'érable.
- Comme pour les enfants, la modération est la clé. Une petite portion occasionnelle peut s'intégrer dans une alimentation équilibrée sans compromettre les objectifs nutritionnels.

 Idées de Recettes Saines

1. Sorbets Maison : Mixer des fruits frais (mangue, fraises, banane) avec un peu de jus de citron et congeler pour un sorbet sans sucre ajouté.
2. Glaces au Yaourt: Mélanger du yaourt nature avec des fruits en purée et un peu de miel, puis congeler dans des moules à glace.
3. Glace à la Banane : Congeler des morceaux de banane, puis les mixer pour obtenir une texture crémeuse semblable à celle de la glace.


Les glaces et sorbets peuvent avoir leur place dans une alimentation équilibrée, tant chez les adultes que chez les enfants, à condition de les consommer avec modération et de privilégier des choix de qualité. En faisant des choix éclairés et en intégrant ces douceurs de manière réfléchie, il est possible de profiter de leurs bienfaits gustatifs sans compromettre sa santé.

N'hésitez pas à expérimenter avec des recettes maison pour créer des versions plus saines et adaptées à vos besoins nutritionnels. Souvenez-vous, le plaisir de manger fait partie intégrante d'une alimentation équilibrée et d'une vie saine.
par Laurianne Chignard 10 avril 2025
C’est une phrase que j’entends très souvent en consultation : « Il ne mange rien ! », « Elle ne touche à rien à table… » Et je comprends parfaitement l’inquiétude qu’elle sous-entend. Lorsqu’un enfant refuse les repas, picore à peine ou repousse son assiette avec une moue dégoûtée, cela peut être déroutant, frustrant, et même angoissant pour un parent. Pourtant, ce comportement est bien plus fréquent qu’on ne l’imagine… et n’est pas toujours inquiétant. Dans cet article, j’aimerais vous aider à faire le point avec recul, à mieux comprendre ce qui peut se cacher derrière ces refus alimentaires, et vous proposer quelques pistes pour accompagner votre enfant avec bienveillance. La réalité derrière « il ne mange rien » Tout d’abord, je vous invite à observer la situation avec un regard objectif. Est-ce que votre enfant ne mange vraiment rien ? Ou mange-t-il moins que ce que vous espériez, ou que ce que vous considérez comme « normal » ? Les jeunes enfants ont souvent un appétit très variable d’un jour à l’autre, voire d’un repas à l’autre. C’est tout à fait physiologique. Un enfant en bonne santé, qui suit sa courbe de croissance, qui joue, qui dort bien et qui reste globalement tonique… est un enfant qui mange suffisamment pour lui. Même si cela ne correspond pas à nos attentes d’adultes. Des phases naturelles de néophobie alimentaire Vers l’âge de 18 mois à 2 ans, de nombreux enfants traversent une période appelée néophobie alimentaire. Il s’agit d’une réticence à goûter de nouveaux aliments, souvent accompagnée d’un repli sur des aliments connus, parfois très restreints. Ce phénomène est normal et a une fonction protectrice sur le plan évolutif : il empêche l’enfant d’ingérer des aliments potentiellement dangereux alors qu’il devient plus autonome. Cette phase peut durer plusieurs mois, voire quelques années dans certains cas, mais elle finit généralement par s’estomper, surtout si on ne met pas une pression excessive sur l’enfant. Quand l’angoisse de bien faire génère de la tension Je rencontre souvent des parents qui, animés par le souci de bien faire, insistent, négocient, menacent ou récompensent pour que leur enfant mange. Or, ces attitudes peuvent générer une tension autour des repas, que l’enfant perçoit très bien. À force, l’enfant peut associer les repas à un moment désagréable, voire conflictuel, ce qui accentue encore ses refus. Il entre alors dans un cercle vicieux : plus on insiste, plus il refuse. Il est donc essentiel de restaurer un climat serein à table, sans pression. Votre rôle consiste à proposer. Celui de l’enfant est de disposer. Quelques repères utiles pour accompagner votre enfant Je vous encourage à adopter quelques principes simples, qui pourront faire évoluer la situation en douceur : Servez des portions modestes, quitte à resservir s’il en redemande. Une assiette trop remplie peut décourager. Proposez des aliments variés, sans vous focaliser sur ce qu’il mange ou laisse. Évitez de commenter son assiette ou son appétit. Laissez-le maître de ses sensations de faim. Instaurez des repères horaires réguliers pour les repas et collations, sans grignotage entre les deux. Impliquez votre enfant dans la préparation des repas. Cela peut éveiller sa curiosité alimentaire. Et surtout, donnez-lui l’exemple : mangez vous-même avec plaisir et variété. Et si l’inquiétude persiste ? Si vous avez le sentiment que la situation dépasse ce qui vous semble tolérable, si votre enfant perd du poids, montre des signes de carence, ou que les repas deviennent systématiquement sources de conflits, n’hésitez pas à consulter. En tant que diététicienne, je suis là pour vous accompagner dans une approche adaptée, respectueuse du rythme de votre enfant et de votre cadre familial. Je prends toujours le temps d’explorer le contexte global : la croissance, l’environnement des repas, le rythme de vie, les antécédents médicaux, les croyances alimentaires… Car derrière un enfant qui « ne mange rien », il y a souvent une histoire à écouter, et des solutions à co-construire. « Un enfant ne se laisse pas mourir de faim » C’est une phrase que l’on entend régulièrement, parfois pour rassurer, parfois pour dédramatiser. Et il est vrai que, dans la grande majorité des cas, un enfant en bonne santé, sans pathologie associée, finit effectivement par manger ce dont il a besoin si on lui propose un cadre sécurisant et sans pression. Mais attention, cette affirmation peut aussi être source de confusion, voire de danger, si elle est érigée en vérité universelle. Certains enfants, en effet, présentent de vraies difficultés médicales ou développementales qui peuvent impacter leur alimentation de manière profonde. Je pense notamment aux enfants atteints de troubles de l’oralité alimentaire. Ces troubles, souvent méconnus, se traduisent par une hypersensibilité au niveau de la bouche, une difficulté à mâcher ou avaler, une peur du contact avec certains aliments, ou encore un dégoût très marqué pour certaines textures. Dans ces cas-là, non, l’enfant ne mangera pas « quand il aura faim », parce que l’acte de manger en lui-même est associé à un inconfort, voire à une douleur ou une angoisse. Il est donc essentiel de faire la différence entre une phase de néophobie passagère et un trouble plus profond nécessitant un accompagnement pluridisciplinaire. Parmi les signes qui doivent alerter : une perte de poids ou une cassure de la courbe de croissance, des vomissements fréquents, un refus persistant de certaines textures (aliments mous, solides, croquants...), une très grande sélectivité alimentaire depuis la diversification, un rejet du biberon, de la cuillère ou du verre, même après plusieurs tentatives. Dans ce type de situation, il ne faut ni banaliser, ni attendre que « ça passe tout seul ». Un bilan auprès d’un professionnel de santé formé à ces troubles (orthophoniste, ergothérapeute, pédiatre, diététicien spécialisé) est nécessaire pour comprendre l’origine des difficultés et mettre en place un accompagnement adapté.
par Laurianne Chignard 1 avril 2025
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par Laurianne Chignard 30 mars 2025
Les troubles de l’oralité chez l’enfant regroupent un ensemble de difficultés liées à la prise alimentaire. Ils se manifestent par des refus d’aliments, des problèmes de mastication ou encore une hypersensibilité aux textures. Ces troubles peuvent impacter l’équilibre nutritionnel de l’enfant et freiner son développement. Détecter ces troubles rapidement permet d’éviter des complications et d’apporter des solutions adaptées dès les premiers signes. Quels sont les signes des troubles de l’oralité ? Les troubles de l’oralité peuvent se manifester de différentes manières et être source de stress pour les parents. Voici les signes qui doivent alerter :  Refus alimentaire sélectif : l’enfant rejette certains aliments en raison de leur texture, leur goût ou leur apparence. Difficulté à gérer certaines textures : il préfère les aliments très lisses ou au contraire croustillants et refuse toute transition. Problèmes de mastication et de déglutition : il peine à mâcher ou à avaler, ce qui peut entraîner des régurgitations ou un allongement du temps des repas. Anxiété autour des repas : il exprime une gêne, du stress ou un rejet des moments de repas en famille. Alimentation très limitée : son régime alimentaire repose sur quelques aliments seulement, ce qui peut provoquer des carences nutritionnelles.
par Laurianne Chignard 27 mars 2025
Le petit-déjeuner salé intrigue souvent ceux qui ont l'habitude de commencer la journée avec des tartines beurrées ou un bol de céréales sucrées. Pourtant, il présente de nombreux intérêts nutritionnels et peut s'avérer particulièrement adapté à certains profils. Voyons ensemble ses bienfaits, ses inconvénients et quelques idées pour l’adopter facilement. Les bienfaits du petit-déjeuner salé Un petit-déjeuner salé permet une meilleure stabilisation de la glycémie grâce à un apport plus riche en protéines et en lipides, ce qui évite les pics d'insuline responsables des fringales matinales. Il favorise également une sensation de satiété prolongée, aidant ainsi à mieux réguler les apports alimentaires sur la journée. Par ailleurs, il est souvent plus riche en micronutriments essentiels tels que le fer, le zinc et les vitamines du groupe B, notamment lorsque l'on intègre des aliments comme les œufs, le fromage, le poisson ou les légumineuses. Enfin, opter pour un petit-déjeuner salé permet de diversifier les apports nutritionnels et de développer de nouvelles habitudes alimentaires. Cela peut être particulièrement intéressant pour ceux qui ressentent une fatigue persistante ou qui pratiquent une activité physique régulière. Les inconvénients du petit-déjeuner salé L'un des principaux freins à l’adoption du petit-déjeuner salé est l’appétit matinal. Certaines personnes ont du mal à consommer des aliments riches en protéines ou en lipides dès le réveil. Le changement peut nécessiter un temps d’adaptation pour habituer le palais et le système digestif à ces nouveaux choix alimentaires. Un autre point à surveiller est la teneur en sel de certains aliments salés. Les produits transformés comme la charcuterie ou certains fromages peuvent contenir des quantités élevées de sodium. Il est donc préférable de privilégier des sources de protéines moins salées, comme les œufs, le fromage frais ou les légumineuses, et d’assaisonner avec des herbes et des épices plutôt qu’avec du sel en excès. Enfin, le petit-déjeuner salé peut donner l'impression d’être plus long à préparer, bien que des solutions rapides et équilibrées existent. Pour ceux qui souhaitent se lancer sans passer trop de temps en cuisine, voici quelques idées de petits-déjeuners salés simples et rapides à préparer : Sandwich fromage à tartiner et blanc de poulet : une tranche de pain complet avec du fromage frais à tartiner et une tranche de blanc de poulet. Galette complète : une crêpe de sarrasin garnie d’un œuf, d’une tranche de jambon et d’un peu de fromage râpé, pliée et dorée à la poêle. Toast fromage fouetté et poisson fumé : une tranche de pain complet grillé avec une fine couche de fromage , garnie de saumon poisson et d’aneth.. Houmous et pain complet : du houmous maison avec une tranche de pain complet grillé. Tofu brouillé aux épices : du tofu émietté et revenu avec du curcuma et du cumin, servi avec un peu de pain grillé. Recettes complètes pour le petit déjeuner salé :
par Laurianne Chignard 20 mars 2025
Les collations occupent une place essentielle dans notre alimentation quotidienne. Bien plus que simplement "calmer la faim", elles répondent à des besoins variés : réconfort, détente, ou même concentration. Comprendre que les collations peuvent avoir un impact psychologique important est essentiel, au-delà de leur simple apport énergétique. Faim ou envie de manger ? Avant de choisir une collation, il est important de faire la différence entre la faim physique et l'envie de manger . La faim physique se manifeste par des signaux corporels, comme des gargouillements ou un vide dans l'estomac, et nécessite une réponse alimentaire. L'envie de manger, en revanche, peut être déclenchée par des facteurs émotionnels ou environnementaux, sans qu'il y ait réellement de besoin nutritionnel. Dans ce cas, la collation ne répond pas à la faim, mais à un besoin psychologique, comme le réconfort ou la détente. Il est fréquent de chercher à "résister" à cette envie en multipliant les aliments dits "sains". On se dit qu'une poignée de noix, quelques légumes crus, ou encore une pomme vont calmer cette envie sans que ce soit un problème. Mais même si chaque petit aliment pris séparément semble sans conséquence, l'accumulation peut finir par devenir un problème. En essayant de résister à une envie avec des choix sains, on n'atteint pas toujours la satisfaction attendue, et l'accumulation de petites collations peut, à terme, nuire à nos objectifs. Il est donc important de se poser la question suivante : comment satisfaire cette envie de manière équilibrée sans perdre de vue nos objectifs nutritionnels ? La collation : plus qu'un simple apport énergétique Les collations ne se limitent pas à un apport d’énergie ; elles peuvent aussi être un moyen de se détendre, de prendre une pause ou de se réconforter. Prenons par exemple deux carrés de chocolat noir avec un thé non sucré : cette combinaison apporte environ le même nombre de calories qu’une pomme. Cependant, les effets psychologiques de chaque choix sont différents. Tandis que la pomme, croquante et fraîche, satisfaira la faim physique de manière rapide, le chocolat, souvent associé à un moment de plaisir, aura un effet plus émotionnel. C’est là que réside la différence : la satisfaction de la faim physique peut être distincte de celle de l’envie émotionnelle. 5 idées de collations à 150 kcal Si vous cherchez une collation satisfaisante, mais modérée en calories, voici cinq idées à environ 150 kcal, parfaites pour combler une petite faim tout en apportant un bien-être supplémentaire, avec deux options "snacking" pour varier les plaisirs : Un yaourt nature avec des fruits frais : Un petit yaourt nature (ou au soja) avec quelques tranches de fruits frais, comme une banane ou des baies. Ce duo apporte protéines, fibres et vitamines, tout en étant léger. Un petit sandwich au pain complet avec du fromage frais : 1 tranche de pain complet, 1 cuillère à soupe de fromage frais léger, et des légumes frais comme des tranches de concombre ou de tomate. Amandes et pomme : Une petite poignée d’amandes (environ 10-12 amandes) accompagnée d’une pomme. Ce duo combine les graisses saines et les fibres, tout en offrant une belle sensation de satiété. Bâtonnets de légumes avec du houmous : Un petit bol de bâtonnets de légumes frais (carottes, concombre, céleri) avec 2 cuillères à soupe de houmous. Cette collation offre des fibres et des protéines, tout en étant idéale pour un moment de "snacking" léger et nourrissant. Barre granola maison : Une petite barre granola maison (à base d’avoine, graines et miel) de 150 kcal, idéale pour un encas sucré mais équilibré. Facile à emporter, elle peut être un vrai coup de boost au cours de la journée. Les collations ne sont pas uniquement une réponse à la faim. Elles peuvent aussi répondre à un besoin émotionnel ou être un moment de plaisir. Lorsqu'on ressent une envie de manger, il est essentiel de s’interroger sur la meilleure manière de la satisfaire sans nuire à ses objectifs nutritionnels. Si l'accumulation de petites collations "saines" peut sembler inoffensive à première vue, il est important de choisir des options équilibrées qui respectent à la fois nos besoins physiques et psychologiques. En écoutant attentivement notre corps et nos émotions, il est possible de trouver des solutions satisfaisantes et bien-être tout en restant aligné avec nos objectifs.
par Laurianne Chignard 15 mars 2025
Lorsque vous cherchez à perdre du poids, vous avez peut-être le réflexe de vous fier uniquement au chiffre affiché sur la balance. Pourtant, cet indicateur est trompeur et ne reflète pas la nature de cette perte. Perdre du poids ne signifie pas nécessairement perdre du gras, et c’est bien là tout l’enjeu d’une démarche réussie. Une perte de poids mal contrôlée peut avoir des conséquences négatives sur la santé, tandis qu’une approche centrée sur la composition corporelle permet d’obtenir des résultats durables et bénéfiques. Au-delà du chiffre sur la balance Votre poids total est la somme de plusieurs composantes : la masse grasse, qui correspond aux tissus adipeux, la masse musculaire, qui regroupe l’ensemble des muscles squelettiques, l’eau corporelle, qui varie en fonction de l’hydratation, de l’alimentation et de l’activité physique, ainsi que les os et les organes, qui forment la structure sèche du corps. Une perte de poids peut donc résulter d’une diminution de la graisse, mais aussi d’une fonte musculaire, d’une perte d’eau ou encore d’une réduction de la densité osseuse. Ces variations ne sont pas équivalentes en termes de santé et de bien-être.
par Laurianne Chignard 15 mars 2025
Originaire d’Amérique centrale et du Sud, la graine de chia provient de la plante Salvia hispanica, un membre de la famille de la menthe. Considérée comme un super-aliment, elle a su se faire une place dans nos assiettes grâce à ses nombreux bienfaits nutritionnels et à sa facilité d’utilisation. Ces petites graines, semblables à des graines de pavot, sont un concentré de nutriments et peuvent être consommées sous différentes formes. Dans cet article, je vous propose de découvrir l’origine des graines de chia, leurs vertus, comment bien les consommer, ainsi que les risques liés à une consommation inadaptée ou excessive. L'origine des graines de chia Les graines de chia étaient déjà cultivées par les civilisations précolombiennes, telles que les Aztèques et les Mayas. Ces peuples les considéraient comme une source d’énergie et de force, les utilisant sous forme de graines ou de farine. C'est une patiente Mexicaine qui mes les as fait découvrir il y a 10 ans, là-bas on les utilisent pour augmenter la satiété dans le cadre de la perte de poids. Aujourd’hui, bien que leur production soit encore principalement concentrée en Amérique du Sud, on les cultive aussi dans d’autres régions du monde, comme en Australie et aux États-Unis, et elles sont disponibles dans toutes les grandes surfaces et magasin vrac. Les vertus des graines de chia Les graines de chia se distinguent par leur profil nutritionnel exceptionnel. Elles sont particulièrement riches en oméga-3, ces acides gras essentiels reconnus pour leurs bienfaits sur la santé cardiovasculaire et cérébrale. En outre, elles sont une source précieuse de fibres solubles et insolubles, qui favorisent une digestion saine et une sensation de satiété, ce qui peut être bénéfique si vous cherchez à maintenir un poids équilibré. Leur apport en protéines végétales en fait également un excellent choix pour les végétariens et les végétaliens, tandis que leur teneur en antioxydants protège l’organisme contre les radicaux libres et le vieillissement cellulaire. Enfin, les graines de chia sont riches en minéraux tels que le calcium, le magnésium et le potassium, qui contribuent à la santé de vos os, de vos muscles et à la régulation de votre métabolisme. Comment bien consommer les graines de chia ? L’une des particularités des graines de chia est leur capacité à absorber jusqu'à dix fois leur poids en eau. Il est donc préférable de les laisser gonfler avant de les consommer, afin de favoriser leur digestion et d'éviter tout inconfort digestif. Vous pouvez, par exemple, les laisser reposer dans un liquide (eau, lait, lait végétal) pendant environ 15 à 30 minutes avant de les manger. Ainsi, elles forment un gel agréable à consommer et qui ne surcharge pas votre système digestif. Personnellement, je préfère un trempage d'au moins une nuit. Pour tirer pleinement profit de leurs bienfaits, il est important de ne pas les consommer en grande quantité. Une consommation excessive de graines de chia peut entraîner des ballonnements ou des troubles intestinaux en raison de leur forte teneur en fibres. Il est donc essentiel de les introduire progressivement dans votre alimentation, en veillant à maintenir une alimentation variée et équilibrée. Les risques liés à une consommation excessive ou inadaptée Bien que les graines de chia soient généralement bien tolérées, quelques précautions s’imposent. En raison de leur richesse en fibres, une consommation excessive peut entraîner des désagréments digestifs, tels que des ballonnements ou des gaz. Il est donc recommandé de commencer par une petite quantité et d’augmenter progressivement votre consommation.. De plus, comme elles sont riches en oméga-3, elles peuvent interagir avec certains médicaments anticoagulants. Si vous êtes sous traitement, il est préférable de consulter votre médecin avant d’augmenter votre consommation de chia. Recette de base pour le pudding de chia Le pudding de chia est une manière simple et délicieuse d'intégrer ces graines dans votre alimentation quotidienne. Voici une recette de base à préparer à l’avance, idéale pour le petit-déjeuner ou comme collation. Ingrédients pour 4 portions : 8 cuillères à soupe de graines de chia 250 ml de lait (végétal ou animal) 1 cuillère à café de miel ou de sirop d'érable (facultatif) 1/2 cuillère à café d'extrait de vanille (facultatif) Préparation : Mélangez les graines de chia, le lait, le miel (si vous en utilisez) et l'extrait de vanille dans un bol. Couvrez et laissez reposer au réfrigérateur pendant au moins 4 heures, ou idéalement toute la nuit. Une fois les graines de chia gonflées et que la texture soit devenue crémeuse, vous pouvez déguster le pudding tel quel ou l’agrémenter de fruits frais, de noix, de graines supplémentaires ou de chocolat, selon vos envies. Idées pour personnaliser le pudding de chia Le pudding de chia est extrêmement versatile et peut être adapté à vos goûts et à vos envies du moment. Vous pouvez, par exemple, ajouter des fruits frais ou surgelés comme des fruits rouges, des bananes ou des kiwis pour une touche de fraîcheur et de vitamines. Pour une version plus gourmande, incorporez du cacao en poudre ou du chocolat noir fondu pour un goût chocolaté. Si vous aimez le croquant, n’hésitez pas à ajouter des noix ou des graines de tournesol. Et pourquoi ne pas tenter une version inspirée du tiramisu en ajoutant un peu de mascarpone ou de yaourt nature, saupoudré de cacao en poudre et de grains de café concassés ? Les graines de chia sont un super-aliment aux vertus multiples, qui peut enrichir votre alimentation quotidienne de manière simple et délicieuse. Toutefois, il est essentiel de les consommer de manière appropriée, en respectant les principes d’hydratation et de modération, afin d’en profiter pleinement sans risque de désagrément. N’hésitez pas à varier les plaisirs en adaptant votre pudding de chia à vos goûts et à vos envies du moment.
par Laurianne Chignard 15 mars 2025
Le matcha, poudre de thé vert originaire du Japon, est devenu un véritable phénomène dans le monde de la nutrition. Très présent sur les réseaux sociaux, il suscite l’intérêt de nombreux consommateurs séduits par ses promesses de bien-être et d’énergie. Cependant, au-delà de son aspect tendance, qu’en est-il réellement des bienfaits du matcha et de ses impacts sur la santé ? Cet article vous propose de faire le point sur ses avantages et les précautions à prendre pour l'intégrer à votre alimentation. Les bienfaits du Matcha Une consommation de toute la plante Le matcha se distingue des autres thés par la manière dont il est consommé. Plutôt que de se limiter à une simple infusion des feuilles, le matcha permet de consommer l'intégralité de la plante sous forme de poudre. Cette particularité est un véritable atout, car elle vous permet de bénéficier d'un maximum de nutriments présents dans la feuille, notamment des antioxydants, des vitamines et des minéraux essentiels à l'organisme. Un apport élevé en antioxydants Le matcha est particulièrement riche en catéchines, notamment l’épigallocatéchine gallate (EGCG), un antioxydant puissant qui aide à protéger les cellules du vieillissement prématuré et des dommages causés par les radicaux libres. Grâce à sa concentration en antioxydants, le matcha est un allié précieux pour soutenir votre système immunitaire et prévenir certaines maladies chroniques. Un boost d’énergie naturel En raison de sa teneur en caféine, le matcha offre un coup de pouce énergétique. Toutefois, contrairement au café, la libération de cette caféine est progressive, grâce à la présence de L-théanine, un acide aminé qui favorise la concentration et diminue les effets de nervosité. Cela permet de bénéficier d'un regain d'énergie durable et d'un bien-être mental sans les effets de « crash » souvent associés à la consommation de café. Un soutien à la digestion Le matcha peut également contribuer à une meilleure digestion. En stimulant le métabolisme, il aide à favoriser une digestion fluide et à réguler le transit intestinal. Ses propriétés anti-inflammatoires et détoxifiantes peuvent également soutenir le processus de nettoyage naturel de l’organisme. Comment bien choisir son Matcha Tous les matchas ne sont pas égaux. Il est essentiel de bien choisir votre matcha pour en tirer tous les bienfaits. Il est recommandé de privilégier un matcha bio et de qualité cérémonielle. Ce type de matcha, plus coûteux, provient des jeunes feuilles récoltées avec soin, offrant ainsi une saveur douce et riche, ainsi qu’un apport nutritionnel maximal. Il est également important de vérifier la provenance du matcha. Celui cultivé à l’ombre sera plus riche en chlorophylle, en antioxydants et en L-théanine, ce qui permet de maximiser les bienfaits pour votre santé. Évitez les matchas de qualité inférieure, souvent destinés à la cuisine, qui ne présentent pas les mêmes vertus nutritionnelles. Les points négatifs du Matcha : attention à l'excès Bien que le matcha présente de nombreux avantages, sa consommation n’est pas sans risques si elle est excessive. En raison de sa teneur en caféine, il peut entraîner des effets indésirables comme des troubles du sommeil, de l’anxiété ou des palpitations cardiaques, notamment chez les personnes sensibles à la caféine. Il est donc préférable de limiter sa consommation à une ou deux tasses par jour pour éviter ces effets. De plus, il convient de prêter attention à la recette choisie. Si vous préparez votre matcha avec du sucre, du lait entier ou d’autres ingrédients riches en calories, vous risquez de transformer un super-aliment en un aliment trop calorique. Pour préserver ses bienfaits, privilégiez des recettes légères, en évitant les ajouts superflus de sucres et de matières grasses. Recettes pour profiter des bienfaits du Matcha sans prise de poids Voici deux idées de recettes simples et saines pour intégrer le matcha dans votre alimentation, tout en contrôlant votre apport calorique. Recette chaude : Latte Matcha léger Ingrédients : 1 cuillère à café de matcha de qualité 200 ml de lait d’amande ou de lait de soja non sucré 1 à 2 gouttes de stévia ou un peu de miel (optionnel) Préparation : Faites chauffer le lait à feu doux, sans le faire bouillir. Mélangez le matcha avec un peu d’eau chaude pour obtenir une pâte homogène. Ajoutez cette pâte de matcha dans le lait chaud, puis fouettez énergiquement jusqu’à ce que la mousse se forme. Si vous le souhaitez, ajoutez un peu de stévia ou de miel pour un léger sucrage. Cette recette est légère et permet de profiter des bienfaits du matcha tout en restant modéré en calories. Recette froide : Smoothie Matcha énergisant Ingrédients : 1 cuillère à café de matcha 1 petit yaourt nature ou yaourt au soja 1/2 banane 150 ml de lait d’amande ou de lait de coco léger Quelques glaçons Préparation : Mixez tous les ingrédients dans un blender jusqu’à obtention d’une texture lisse et homogène. Versez dans un verre et ajoutez des glaçons pour un effet rafraîchissant. Ce smoothie est non seulement rafraîchissant, mais également léger, parfait pour un petit déjeuner ou une collation équilibrée (nous parlons bien de collation, pas de boisson) Le matcha est un super-aliment puissant, riche en antioxydants, en caféine naturelle et en autres nutriments bénéfiques. Cependant, pour en tirer tous les bienfaits, il est important de le consommer avec modération et de privilégier des recettes légères. En choisissant un matcha de qualité et en préparant des boissons simples et équilibrées, vous pourrez profiter de ses vertus sans risquer de prendre du poids. Faites-en un allié santé, tout en restant vigilant sur les ajouts caloriques !
par Laurianne Chignard 15 mars 2025
Vous vous demandez si les consultations diététiques peuvent être remboursées ? Actuellement, la Sécurité sociale ne prend pas en charge ces consultations, sauf exceptions . Heureusement, plusieurs alternatives existent pour alléger le coût de votre suivi nutritionnel. La Sécurité sociale rembourse-t-elle les consultations diététiques ? De manière générale, la Sécurité sociale ne prévoit pas de remboursement pour les consultations chez un diététicien. Cependant, dans certaines situations spécifiques, une prise en charge exceptionnelle peut être envisagée. Cela concerne principalement les patients atteints de pathologies nécessitant un suivi diététique sur prescription médicale et intégré dans un parcours de soins coordonné. Si vous pensez être concerné, parlez-en à votre médecin traitant pour connaître les démarches à suivre. Quels sont les programmes de prévention qui prennent en charge la diététique ? Des programmes de prévention permettent d’accéder à un suivi diététique entièrement pris en charge. À Nantes, voici deux dispositifs auxquels je participe, accessibles sous conditions : MRTC (Mission Retrouve ton Cap) : destiné aux enfants de 3 à 12 ans en surpoids, ce programme associe consultations diététiques, activité physique et suivi psychologique. Il sera bientôt disponible pour les patients suivis par les médecins de la Maison de Santé de Nantes Doulon . Ce programme est sans reste à charge, mais les places sont très limitées. Manger Bouger Senior : conçu pour les plus de 60 ans en bonne santé, ce programme vise à favoriser un vieillissement actif grâce à des ateliers nutrition avec une diététicienne et des séances d’Activité Physique Adaptée (APA) encadrées par un kinésithérapeute. Ce dispositif est également entièrement pris en charge, mais les places sont limitées. À noter que les inscriptions pour la session d’avril 2025 sont closes. Comment se faire rembourser une consultation diététique par sa mutuelle ? De nombreuses mutuelles remboursent les consultations diététiques, mais cela dépend du contrat souscrit. Certaines mutuelles prennent en charge un forfait annuel, d’autres un pourcentage des consultations. Il faut alors vous referez à votre contrat. Si votre mutuelle le prévois, mes consultations seront prises en charge. Si vous souhaitez explorer des solutions pour mieux être couvert, vous pouvez contacter Damien Henneveu , courtier en assurances, qui saura vous conseiller pour changer de mutuelle ou compléter celle de votre employeur. Ensemble, vous trouverez la meilleure option adaptée à vos besoins spécifiques et au meilleur prix. Quels soins sont remboursés avec Elsee ? Elsee est une solution innovante qui permet une prise en charge élargie des soins liés au bien-être et à la santé pour les Femmes. À partir de 39€ par mois, ce service propose un remboursement avantageux pour : Les consultations diététiques L’ostéopathie La psychologie Les massages Le sport Les compléments alimentaires Le matériel thérapeutique En utilisant le code CHIGNARD20, vous bénéficiez de 20€ de crédits supplémentaires sur vos remboursements de compléments alimentaires. Qui contacter pour trouver la meilleure solution de remboursement ? Si vous cherchez une prise en charge adaptée à votre situation, je vous recommande de contacter Damien Henneveu , spécialiste en assurances, c'est plus son métier que le mien, et il prendra en compte l'ensemble de vos besoins . Il pourra vous aider à identifier la meilleure mutuelle ou complémentaire santé pour financer vos consultations diététiques et autres soins à la place ou en complément de votre mutuelle actuelle. N’hésitez pas à me contacter également pour toute question sur l’accompagnement diététique !
par Laurianne Chignard 26 février 2025
Je l’utilise régulièrement en consultation et je le recommande comme un outil à adopter avec plaisir. Tenir un journal alimentaire ne doit pas être une contrainte, mais un moyen d’apprendre à mieux s’organiser, à mieux se connaître et à voir le chemin parcouru. Que ce soit dans le cadre d’une perte de poids, d’une recherche d’intolérances alimentaires ou encore pour observer l’influence de vos cycles hormonaux sur votre appétit, tenir un journal alimentaire peut vous aider à progresser de manière consciente et efficace. Si pour vous c'est contrainte, une surcharge de travail, passez votre chemin, cet outils n'est pas adapté, nous trouverons surement une méthode qui vous corresponde plus. Pourquoi tenir un journal alimentaire ? Un outil pour mieux comprendre ses habitudes Nous avons souvent une perception biaisée de notre alimentation. Entre les grignotages oubliés, les repas pris sur le pouce et les émotions qui influencent nos choix alimentaires, il est facile de perdre le fil. En prenant quelques minutes chaque jour pour noter ce que vous mangez, vous obtenez une vision plus claire de vos habitudes et pouvez identifier des schémas récurrents. Un allié dans la perte de poids Si votre objectif est de perdre du poids, tenir un journal vous permet de prendre conscience des quantités consommées, des moments où vous avez tendance à trop manger et des déclencheurs émotionnels liés à votre alimentation. Cet outil ne sert pas à culpabiliser, mais à mieux ajuster votre alimentation à vos besoins réels. Une aide précieuse en cas d’intolérances alimentaires Les réactions aux aliments peuvent parfois être subtiles et différées. Un journal alimentaire détaillé vous permet de croiser les aliments consommés avec l’apparition de symptômes digestifs, cutanés ou encore de fatigue. En notant précisément ce que vous mangez et vos ressentis, il devient plus facile d’identifier des intolérances ou des sensibilités alimentaires. Observer l’influence des cycles hormonaux Les variations hormonales influencent l’appétit, les envies alimentaires et l’énergie. Un journal permet d’identifier ces fluctuations et d’adapter son alimentation en fonction des besoins du corps. Cela peut être particulièrement utile pour anticiper les envies de sucre ou de gras qui surviennent souvent à certains moments du cycle. Que doit contenir un journal alimentaire ? Le contenu d’un journal alimentaire peut varier en fonction de l’usage que l’on souhaite en faire. Voici quelques éléments intéressants à inclure : Vue à la semaine, au jour ou au mois : selon vos préférences, vous pouvez organiser votre journal sous forme de tableaux quotidiens, hebdomadaires ou mensuels. Les repas et collations : notez ce que vous mangez et buvez, avec les quantités si possible. Le contexte du repas : à quelle heure avez-vous mangé ? Où ? Étiez-vous seul(e) ou accompagné(e) ? Les sensations physiques et émotionnelles : aviez-vous faim, étiez-vous stressé(e), fatigué(e) ? Un calendrier des aliments de saison : cela peut vous aider à diversifier votre alimentation et privilégier des produits frais. Des traqueurs personnalisés : Consommation d’eau Activité physique Sommeil Symptômes digestifs (ballonnements, douleurs, etc.) Humeur et énergie Cycle menstruel Papier ou numérique : quel format choisir ? Le journal papier : simplicité et déconnexion Le format papier a l’avantage d’être accessible partout, sans écran. Il favorise une réflexion plus posée et permet d’ajouter des annotations, des émotions ressenties ou des détails sur l’environnement du repas. Certaines personnes apprécient le rituel de l’écriture et trouvent cela plus engageant. Les applications et journaux numériques : praticité et analyse De nombreuses applications permettent d’enregistrer ses repas rapidement, d’ajouter des photos et même d’obtenir une analyse automatique des apports nutritionnels. Si vous cherchez une solution rapide et que vous aimez les outils connectés, le journal numérique peut être une excellente option. Il permet également de repérer plus facilement les tendances grâce aux graphiques et aux statistiques. Personnellement, j’utilise un agenda numérique sur tablette avec l’application Goodnotes. Ce format me permet d’avoir mon journal toujours avec moi, de le personnaliser en ajoutant ou supprimant des pages et de profiter du confort de l’écriture au stylet. C’est une alternative idéale pour ceux qui souhaitent combiner l’aspect manuscrit avec la flexibilité du numérique. Si vous recherchez un journal pratique et complet, j’ai conçu l’Agenda Nutrition 2025, spécialement pensé pour vous accompagner au quotidien. Il vous permet de noter vos repas, vos ressentis et d’organiser vos semaines alimentaires sereinement. Comment bien utiliser son journal alimentaire ? L’essentiel est de le tenir sans pression. Notez vos repas, vos sensations et vos émotions sans chercher à être parfait(e). L’objectif est de mieux comprendre votre alimentation et d’ajuster progressivement vos choix. Que vous optiez pour le papier ou le numérique, ce qui compte, c’est la régularité et l’honnêteté dans vos observations. Si vous avez besoin d’aide pour analyser vos habitudes alimentaires et trouver des solutions adaptées à vos objectifs, n’hésitez pas à me contacter. Ensemble, nous pourrons élaborer des stratégies personnalisées pour une alimentation plus sereine et équilibrée. 👉 Découvrez l’Agenda Nutrition 2025 ici :
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